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Aspects cliniques de la prise en charge de l'enfant à la personne vieillissante

Dans le cadre de ce cours, Monsieur Verda nous a demandé de réaliser un travail sur une pathologie et d'en faire une recherche approfondie. J'ai décidé de réaliser celui-ci sur le trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H).  

Pour télécharger le travail, cliquez ici : 

En tant qu’institutrice préscolaire et primaire, j’ai eu envie d’approfondir mes connaissances sur le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité ( TDA/H). En effet, durant le cours, je me suis rendu compte que je n’en connaissais pas suffisamment. En tant que futur orthopédagogue, il est important de comprendre ce qu’est le TDA/H, comment le déceler afin de mettre en place une prise en charge.

 

Lors de la présentation du TDA/H, j’ai été soulagée de voir que Monsieur Verda avait mis en premier lieu qu’un enfant TDA/H est différent d’un enfant « fatiguant ». Je trouve que dans l’enseignement, les personnes mettent trop rapidement une étiquette. 

 

Auparavant, on utilisait d’autres appellations telles que : «  enfant instable », «  enfant hyperactif » ou « enfant hyperkinétique ». Ces termes ne sont plus d’actualités.

Définition

Il s’agit soit d’un déficit de l’attention, soit d’une impulsivité et d’une hyperactivité ou les deux. 

 

Ce trouble peut toucher les enfants, les adolescents et les adultes. Grâce à un suivi, ils apprendront à se canaliser. Cependant, ce trouble ne se guérit pas. 

 

Selon Russel Barkley et d’autres chercheurs (De Coster, 2015), ils définissent le TDA/H comme étant un trouble de l’inhibition et non un lien avec la durée de l’attention. Les personnes atteintes de TDA/H ne possèdent pas de « bouclier ».

 

Ils sont : 

- incapables de bloquer les distractions : inattention.

- incapables de bloquer leurs pensées : impulsion.

- incapables de bloquer les actions provenant des distractions et de leurs pensées : hyperactivité.

Les origines du TDA/H

  • Origine neurologique dont les fonctions suivantes vont être déficitaires :


 

- L’attention et la concentration

- Les fonctions exécutives

- La mémoire de travail

- La flexibilité

- La planification


 

  • Origine génétique et biologique démontrée par des généticiens. 

 

  •  Origine sociétale ( facteurs environnementaux).

 

  •  Peut-être dû à l’alimentation, les toxines ou l’alcool que la maman pourrait ingérer lors de sa grossesse.

Les trois paramètres du TDA/H

1. La concentration

 

La concentration demande beaucoup d’efforts au niveau cognitif.

 

Il y a quatre formes d’attention : 

 

* La vigilance ou l’éveil (alerte phasique) : ce paramètre est déclenché par un réflexe, un stimulus qui nous permet d’être éveillé, attentif et actif. Celui-ci est différent selon le moment de la journée et de la motivation éprouvée. 

 

* L’attention sélective/ dirigée : il s’agit d’une attention sélective car nous allons la diriger sur quelque chose de précis et ignorer les stimulations qui nous entourent. 

 

* L’attention divisée/partagée : il s’agit d’une attention qui nous permet de traiter plusieurs éléments simultanément. 

 

* L’attention soutenue : c’est la capacité à soutenir son attention afin de clôturer une tâche telle qu’écrire ou lire ( tâche de longue durée).

 

             La concentration combine l’attention soutenue et sélective.

 

2. L'hyperactivité

Lorsque l’on parle d’hyperactivité, on entend généralement par-là de l’agitation. 

Nous serons face à une personne qui éprouvera des difficultés à rester en place ou à jouer calmement.

 

Il y a deux types d’hyperactivité : 

 

L’hyperactivité motrice : l’activité motrice va augmenter. Celle-ci peut être désordonnée et non constructive. L’enfant éprouvera des difficultés d’inhibition. 

Nous pourrons percevoir de l’agitation constante, de la nervosité, des signes d’impatience et des difficultés à rester en place. La personne aura également des difficultés à réguler son tonus. 

 

* L’hyperactivité intellectuelle : nous pouvons observer une fuite d’idée. Il s’agit de penser à plusieurs idées mais qui n’ont pas forcément de liens logiques. 

3. L'impulsivité

La personne se précipitera pour répondre aux questions, elle aura difficile à attendre son tour, elle imposera sa présence et pourrait interrompre son entourage. 

Généralement, la personne va agir avant de réfléchir. Son intention ne sera pas d’ennuyer son entourage. Elle pourrait être violente sans penser aux conséquences de ses actes. 

 

Exemple : l’enfant répondra avant que l’enseignant n’ait terminé de poser l’entièreté de sa question. 

 Symptômes

- Inattention

- Distractivité 

La personne a des difficultés par rapport aux distractions ainsi qu’à être concentrée sur une activité. Elle aura des difficultés à achever entièrement une activité ( exemples de distractions : les bruits, les émotions, les animations pourraient l’attirer,…).

- Manque d’organisation 

Pour la personne, il est difficile de s’organiser, d’accomplir ou de terminer quelque chose. Elle peut être distraite, avoir des oublis fréquents ainsi que perdre des objets.

- Difficultés par rapport à la gestion du temps.

La personne n’a pas la notion du temps et peut le trouver long.

- Difficultés à anticiper et à s’organiser.

- Difficultés à s’adapter aux demandes de l’environnement. 

- Difficultés à trier et à hiérarchiser les informations.

- Difficultés à prendre des décisions. 

- Difficultés à faire des retours sur ses actions ou d’apprendre de ses erreurs. 

- Difficultés à contrôler ses émotions ou labilité émotionnelle ou le fait de changer d’humeur rapidement.

- Manque d’inhibition. 

 

         Plusieurs symptômes doivent être apparus et observés avant l’âge de douze pour que l’on puisse parler de TDA/H. 

 

Traitements

« Les difficultés d’un enfant comportent toujours de multiples aspects. Les remèdes aussi. Le secours provisoire d’un médicament ne s’impose pas d’office. Pour des solutions durables, d’autres pistes sont à explorer ».

            

Tout d’abord, un médecin aura réalisé une batterie de tests afin de savoir si la personne est TDA/H. 

            

Ensuite, il pourra chercher si d’autres troubles y sont associés. 

            

Enfin, il pourra proposer diverses manières pour accompagner et aider la personne dans une prise en charge multimodale.

 

Lors de ces tests, il serait intéressant de ne pas utiliser les termes « évaluations », « tests » ou « diagnostic ». Cependant, parler d’activités réalisées avec un professionnel qui permettront d’identifier ses forces et certaines zones à travailler mettra l’enfant dans un autre état d’esprit. 

 

Ce sont les pédopsychiatres, les psychiatres, les neuropédiatres et les neurologues qui sont spécialisés pour poser leur diagnostic et prendre en charge.

Il est intéressant de réaliser un diagnostic car beaucoup d’enfants peuvent présenter ces symptômes sans avoir ce trouble. C’est pour cela que beaucoup de personnes mettent trop rapidement une étiquette. 

 

L’orthopédagogue accompagnera l’équipe pluridisciplinaire, les parents, l’établissement scolaire afin de rassembler les diverses informations. Il pourrait donc agir au sein de l’école en proposant des aménagements raisonnables ( cités ci-dessous).

 

Une anamnèse sera réalisée afin d’évaluer l’apparition des premiers symptômes, l’intensité de ceux-ci sur la vie de la personne.

Ces évaluations permettront de comparer les symptômes avec ceux présents dans le DSM-V ( 5ièmeédition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux). 

Les résultats seront variables d’un individu à un autre car nous partirons toujours du vécu de celle-ci. 

Médication  

La prise de médication va permettre d’améliorer la manière dont les neurotransmetteurs agissent dans le cerveau. Les symptômes du TDA/H apparaissent lorsque ceux-ci sont peu présents ou ne fonctionnent pas correctement. Les deux neurotransmetteurs responsables de la concentration, du contrôle des impulsions et de la régulation de l’humeur sont la noradrénaline et la dopamine. 

Lors du traitement, les personnes pourraient avoir des effets secondaires dû à la médication tels que : la diminution de l’appétit, des difficultés d’endormissement, des maux de tête et/ou une sècheresse de la bouche. Il pourrait également y avoir des changements au niveau de l’humeur ou du tempérament.  Ceux-ci peuvent durer ou non. Il faudra observer les effets positifs et négatifs afin de prendre des décisions. 

Au niveau du dosage, il faudra peut-être diminuer ou augmenter celui-ci ou encore changer complètement de médication.

 

Lors de cette administration, il faut être conscient que la médication ne guérit pas le TDAH, ne va pas modifier la personnalité, rattraper les lacunes scolaires,… En aucun cas ceux-ci ne permettront d’effacer le passé de l’enfant et de recommencer à zéro. Elle permet de soulager les symptômes et de vivre plus sereinement. Il ne faudra donc pas se fier qu’à la médication mais à un traitement multimodal ( comprenant plusieurs types de prise en charge qui conviendront au patient). 

Aménagements que l'orthopédagogue peut mettre en place  

 « Les évaluations réalisées, il n’est pas évident de choisir la meilleure option thérapeutique, en tenant compte des perturbations émotionnelles et cognitives ainsi que des interactions avec le milieu familial et scolaire. Une prise en charge globale s’impose donc, à plusieurs niveaux, en sériant les aspects et en déterminant un ordre de priorité ».

Cette liste est non exhaustive, chaque personne est différente. Il faudra donc mettre ces éléments en place et voir ce qui fonctionne ou non par « essais-erreurs ». 

Il faudra également garder en tête que la prise en charge pourrait être longue. Un de nos rôles sera de s’armer de patienceet de persévérer. 

Eléments à mettre en place autour de la personne : 

- Informer les proches sur le trouble et les éventuelles comorbidités. Ensuite, accompagner la famille afin de donner des aides et des conseils à mettre en place au niveau de l’environnement, du mode de vie et des aménagements raisonnables. 

 

- Questionner les personnes de l’entourage afin de connaitre les intérêts et s’axer sur ceux-ci. Cela permettra d’obtenir un éclairage plus complet sur la présence et les manifestations des symptômes ainsi que leurs impacts sur son fonctionnement et son autonomie.

Mais également de prendre connaissance des relations avec les intervenants proches de la personne. Celle-ci peut souffrir de l’ambiance, de l’environnement gravitant autour d’elle. 

 

- Il faut être conscient qu’une personne atteinte de TDA/H peut rester concentrée durant des heures face à une activité qu’elle aime, tout ira bien tant qu’elle peut la réaliser. Par contre, s’il s’agit d’une activité moins captivante, l’attention sera moindre et elle sera plus attirée par des stimulations extérieures.

 

- La prise en charge se réalisera à travers le vécu de la personne afin de l’aider au niveau des comportements qui peuvent la perturber. Il faudra également permettre à la personne de faire des choix selon ses objectifs. Cela lui permettra d’être actrice de sa vie et d’évoluer au lieu de se sentir « victime » lorsqu’on lui impose des choses. 

 

- Mettre en place une routine permettant une vie stable, calme et structurée. Cela favorisera un encadrement éducatif efficace et rassurant. Cette routine devra être composée de règles simples, réelles, constantes et cohérentes. Celles-ci lui permettront de s’organiser, de se stabiliser et de se sentir en sécurité. 

Lorsque cette routine sera mise en place, il est important de ne pas faire les choses à la place de l’enfant. Il faudra le laisser faire afin qu’il devienne autonome et trouve les stratégies qui lui conviennent. 

 

- Travailler au niveau de la confiance en soi, l’estime de soi lorsque celle-ci est défaillante. Lors de moments plus difficiles, recadrer la personne en valorisant ses forces et ses aptitudes et non l’inverse. 

 

Soutenir un maximum la personne en s’intéressant à ce qu’il fait, en la questionnant sur sa journée, en lui glissant des mots d’encouragement, en le félicitant, … 

Cela lui permettra de se sentir compétent dans ce qu’il entreprend. 

 

- Proposer d’aller voir un spécialiste concernant une médication tel que : la rilatine, le concerta.

La médication est un moyen d’augmenter la qualité de vie de la personne. Il faut garder à l’esprit, que ce n’est pas quelque chose qui permet d’augmenter les performances ni de remplacer les aménagements raisonnables. 

Il faut tenir compte que les médicaments ne remplacent pas les interventions éducatives et ne devraient pas être envisagés comme une solution unique. 

 

- Proposer  une rééducation multiple :  psychomotricité, accompagnement d’un orthopédagogue, gestion mentale, l’approche médicamenteuse,… Cette rééducation sera propre à chaque personne due aux différents troubles associés s’il y en a.  

 

- Les devoirs : discuter avec l’enfant pour déterminer la période des devoirs ( le moment, l’heure exacte, la fréquence, la durée, …). 

Le fait d’en discuter avec l’enfant permettra d’éviter les affrontements et de lui apprendre à être responsable et autonome. 

 

Instaurer un système de renforcement positif tel que : 

Lorsque l’enfant est prêt à temps pour commencer ses devoirs et les réalise, qu’il puisse recevoir un objet ( ex : un trombone). Au fur et à mesure de la semaine, il va accumuler des trombones. Lorsqu’il en aura 10, il pourra obtenir un privilège tel que : choisir le film, aller dormir un peu plus tard, … 

 

Il faudra également que l’enfant comprenne que les devoirs ne sont pas une option, qu’il est nécessaire de les réaliser. 

 

- Favoriser un environnement de travail propice à la concentration et l’attention. 

Par exemples : 

Empêcher les distracteurs en épurant la pièce et éviter le manque de lumière. 

Éteindre la radio, la télévision ou autres sons lorsque l’enfant travaille. 

Voir avec l’enfant l’endroit où il se sent bien pour réaliser ses devoirs.

Si cela n’est pas possible, lui proposer de porter des bouchons ou un casque pour l’isoler des bruits ambiants. 

 

- Utiliser un « code secret » qui signalera à l’enfant qu’il faut se calmer afin de ne pas le réprimander en public. 

 

- Lorsque le diagnostic n’a pas encore été posé dû à l’âge de l’enfant (avant 6 ans) et que les symptômes d’hyperactivités et d’impulsivités sont présents. Nous pourrions proposer des séances de psychomotricité relationnelle afin d’améliorer le confort de vie de la personne.

 

- Proposer aux parents et à l’enfant des thérapies comportementales et cognitives (TCC) afin de travailler à partir de leur vécu. Leur donner des outils afin d’intervenir au niveau de certains comportements . Par exemples : travailler au niveau des émotions, de situations conflictuelles, ...

Voici un lien qui vous expliquera la TCC : https://www.aftcc.org/les-therapies-comportementales-et-cognitives

Dans l'école : 

Face à un enseignant, lui proposer une série de comportements observables afin de mettre en place des aménagements raisonnables que vont être cités ci-dessous.

 

- Réduire le temps des activités en divisant celle-ci en plusieurs étapes courtes. Cela permettra à la personne de faire des pauses. Ou donner plus de temps.

 

- Transmettre des consignes courtes et structurées de manière verbale et visuelle. Les répéter régulièrement et les faire verbaliser afin de voir si la compréhension correspond à ce qui a été dit. Établir un contact visuel lors de l’explication.

 

- Placer l’enfant près du professeur afin de le recentrer lorsqu’il en aura besoin et l’aider lors de questionnements. 

 

- Proposer de mettre en avant les éléments importants ( exemple : surligner).

- Mettre en place un signe qui permet de capter l’attention de la personne ( exemples : mettre sa main sur son épaule, lui faire un signe, …).

 

- Mettre à disposition un casque d’écoute de retour de voix afin que l’enfant s’entende et le pousse à diminuer sa communication lorsqu’il réalise des exercices en classe et qu’il parle tout seul. 

 

- Éviter les éléments susceptibles de le distraire tels que les panneaux.

 

- Favoriser son attention en le stimulant de manière dynamique lors des apprentissages. Le rendre maitre de ses apprentissages en étant actif.

 

- Permettre à la personne de se lever en lui donnant des tâches à effectuer ( exemples en classe : proposer de faire le facteur, distribuer des feuilles, nettoyer le tableau, …).

 

- Mettre en place des rituels qui permettront de cadrer, de rassurer et de sécuriser. 

 

- Déterminer un contact physique qui va apaiser la personne ( tenir sa main, son épaule, …).

 

- Créer des marches à suivre à cocher lorsque chaque étape est réalisée. Cela permettra à l’enfant d’automatiser des tâches telles que : faire son cartable, remplir son journal de classe, …

 

- Utiliser des pictogrammes choisit avec l’enfant. 

 

- Utiliser des sabliers, time-timer pour la gestion du temps. 

 

- Apprendre des techniques de relaxation et de détente afin de permettre à la personne de se recentrer. 

 

- Proposer des objets tels que : balles antistress, coussin adapté, chambre à air au niveau des pieds, une poignée à serrer,  un interrupteur sur le banc, …

 

- Mettre en place un coin calme ou isolé afin de permettre à l’enfant d’aller se calmer. 

 

- Placer des balles de tennis sous les pieds des chaises afin d’éviter le bruit. 

 

- Mettre à disposition un panier où il n’y aura que le matériel utile à l’exécution de la tâche. Cela permettra à l’enfant de ne pas perdre de temps à chercher ses affaires. 

Conclusion

Pour conclure ce travail, je pense qu’il est important de retenir que tous les enfants agités ne sont pas porteurs de TDA/H. Il ne faut pas tirer de conclusion trop hâtivement. 

Ce n’est pas parce qu’un enfant court, saute ou bouge, qu’il est TDA/H. 

En tant qu’institutrice et futur orthopédagogue, le plus important sera d’être à l’écoute de la personne et de son entourage afin de les accompagner correctement.

 

Gardons à l’esprit qu’il faut permettre à la personne de choisir. Comme le dit Pascale De Coster, il est important de retenir que : « Choisir rend le patient acteur de sa vie en charge et non-victime de son trouble. Il en résulte une nouvelle perception de soi et une responsabilisation du patient ».

« La plus haute des montagnes ne se gravit qu’en posant un

pied après l’autre ».

Source de la citation :

Hébert, A., ( 2015). TDA/H : La boîte à outils, (p.74). Boucherville : éditions de Mortagne.

 

 

 Bibliographie

De Coster, P. (2015). TDA/H : mode d’emploi, Namur : éditions Érasme. 

 

Hébert, A.( 2015). TDA/H : La boîte à outils, Boucherville : éditions de Mortagne.

 

Jacquet, E. (2019). Troubles de l’attention, Haute école Bruxelles-brabant : He2b Defré, Bruxelles.

 

Kutscher, M.L. (2013). Les enfants atteints de troubles multiples : un guide pour professionnels, enseignants et parents. (2eéd.) Bruxelles : De Boeck.

 

Petiniot, M-J. (2016). Comprendre les DYSférences, Namur : éditions Érasme. 

 

Sferarra. R. (2015). TDAH : Trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité.( p.5). Bruxelles : Yapaka

 

Verda, D. (2019). Aspects cliniques de la prise en charge de l'enfant à la personne vieillissante, Haute école Bruxelles-brabant : He2b Defré, Bruxelles.

Professeur : Monsieur Verda.

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