
Psychologie et méthodologie des apprentissages : généralités et différenciation
Dans le cadre de ce cours, j'ai réalisé 4 travaux.
1. Un tatex : tâtonnement expérimental théorique.
2. Une séquence d'activités en mathématique : s'orienter sur un plan selon les formes d'intelligences de H. Gardner.
3. Des dispositifs de différenciations possibles en français concernant l'apprentissage du féminin en fin de 3ième primaire.
4. Un travail personnel sur : "L'influence de l'alimentation et du sommeil sur les apprentissages".

1. Tatex
Créer un tâtonnement expérimental théorique.
Domaine : Sciences – expériences sur l’électricité. Séance de découverte.
Objectif : Allumer l’ampoule.
Savoir ce qu’est un objet isolant et conducteur
Contexte : scolaire (enfants ayant des troubles : non). Age : 6ième primaire. Groupes de 3-4 enfants. Mise en commun en groupe classe.
Matériels :
Pile – ampoule – fils électriques – cuillère en plastique – crayon – bouchon – papier – fourchette en métal – papier aluminium - pièces de monnaie – paille – morceaux de laine – carton – clou- ciseaux - …
Durée : 2 périodes pour pouvoir réajuster si nécessaire.
Consigne :
« Vous devez allumer l’ampoule avec le matériel qui est mis à votre disposition »
Contraintes :
- Allumer l’ampoule
- Allumer l’ampoule et distinguer la différence entre les différents objets (ceux qui permettent d’allumer l’ampoule et ceux qui ne le permettent pas) en vue de comprendre la différence entre les matériaux conducteurs et isolants.
Démarches que l’on peut mettre en place - Déroulement :
1) Essayer et comprendre comment placer les objets pour que l’ampoule s’allume.
2) Prendre des notes des observations.
3) Mettre en commun en groupe : discussion.
4) Réajuster si nécessaire.
5) Mettre en commun en groupe classe : « comment allumer l’ampoule ».
6) Émettre des hypothèses sur ce qu’est un matériel conducteur et un matériel isolant ( avant-pendant- après l’activité).
7) Essayer les différents objets et émettre des hypothèses.
8) Prendre des notes des observations.
9) Discuter autour de la question : « Qu’est-ce qu’un matériel conducteur et isolant ? ».
10) Mettre en commun en groupe classe.
2. Séquence d'activités en mathématique : s'orienter sur un plan selon les formes d'intelligences de H. Gardner.
Travail réalisé avec Daphné De Tiège, Véronique Eeckhout et Maryline Morin.
Si vous désirez télécharger ce travail, cliquez ici :
3. Des dispositifs de différenciations possibles en français concernant l'apprentissage du féminin en fin de 3ième primaire.
Différenciation des contenus : ce sur quoi la tâche va porter.
Exemple : comprendre un texte.
Différenciation des productions : les productions des élèves.
Exemple : restituer le contenu d'un cours sur le cycle de l'eau.
Différenciation des processus : le comment de la tâche.
Exemple : évaluation en athlétisme.
Différenciation des structures : mode d'organisation.
Exemple : résoudre une énigme mathématique.
Eléments tirés du document donné par Madame Elodie Jacquet : " Document Bénédicte Dubois 2015. d'après une version de consultation de la Direction de l'évaluation - Direction générale de la formation des jeunes au Québec - 2005.
Grille construite avec Elodie Coulon & Véronique Eeckhout.
4. Un travail personnel sur : "L'influence de l'alimentation et du sommeil sur les apprentissages".
Selon la pyramide des besoins de Maslow (Leurquin & Vincelette, 2013), la base de celle-ci comprend les besoins physiologiques qui sont nécessaires à notre survie. Ceux-ci doivent être satisfaits afin d’accéder aux besoins suivants.
Cependant, des personnes peuvent vouloir satisfaire des besoins se présentant au-dessus des besoins physiologiques sans les avoir comblés. Ils pourraient donc faire face à des difficultés énumérées dans les besoins physiologiques.
L’alimentation et le sommeil font partie des besoins physiologiques.
Leurquin, P. & Vincelette, S. ( 2013). Gérer les comportements difficiles chez les enfants. (p. 13). Namur : Éditions Érasme.
Les cinq grands besoins selon Glasser :
Selon le psychiatre William Glasser, auteur de la thérapie de la réalité, (Leurquin &Vincelette, 2013) nous serions motivés par cinq grands besoins :
Leurquin, P. & Vincelette, S. ( 2013). Gérer les comportements difficiles chez les enfants. (p. 14). Namur : Éditions Érasme.
L’alimentation et le sommeil sont compris dans le besoin de « survie », ce qui permet de rester en vie.
En général, ces besoins doivent être comblés afin que la personne ne développe pas des comportements non adaptés.
Voici sept éléments dont le cerveau a besoin pour être performant (comprendre, apprendre et mémoriser) lors des apprentissages[1].
- S’alimenter de façon équilibrée
- S’hydrater régulièrement
- S’aérer
- Bouger
- Se reposer
- Utiliser les arts
- Développer ses sens.
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Cadre théorique
Le cerveau utilise beaucoup d’énergie, c’est pour cela que l’on a besoin d’une alimentation saine et d’un sommeil réparateur.
1.1. L’alimentation
L’alimentation peut influencer l’endormissement et la qualité du sommeil.
Par exemple : un repas copieux avant d’aller dormir, la consommation de caféine le soir,…
Bien évidemment, il n’y a pas seulement l’alimentation qui impacte le sommeil mais également l’état de santé, les conditions de vie, l’environnement, l’abus des écrans avant le coucher, etc…
Il est important que les enfants aient déjeuné avant d’aller à l’école. Il faut veiller au contenu de celui-ci afin de leur procurer les nutriments nécessaires pour permettre au cerveau de fonctionner correctement tout au long de la journée.
Pour cela, le cerveau a besoin :
- d’eau ( s’il n’en a pas, il peut y avoir un risque de déshydratation amenant une baisse de concentration, des vertigeset/ou de la somnolence ) ;
- de glucides ( pain, riz, pâtes, légumes et fruits) ;
- d’acides aminés (viandes, poissons, œufs, laits et dérivés) ;
- de lipides (graisses) ;
- de protéines ;
- de vitamines ;
- de minéraux : surtout le fer.
Afin de combler les besoins de l’organisme, l’alimentation doit être variée.
Lorsque les enfants n’ont pas les nutriments nécessaires, le cerveau pourrait être moins compétent.
* Par exemple, une insuffisance de fer pourrait entrainer une baisse des réserves de l’organisme et causer de l’insomnie qui créera une fatigue chronique et engendrera des difficultés de concentration lors des apprentissages.
* L’alimentation doit être saine et ne doit pas inclure trop de sucre. Si l’enfant consomme trop de sucre, ses fonctions cognitives et son équilibrepsychologique pourraient être altérés.
En effet, le sucre augmente la fatigue, diminue la concentration, l’attention, la mémorisation, etc…
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Dépendance au sucre.
Depuis quelques années, plusieurs recherches ont démontré que nous sommes dépendants au sucre. Nous sommes plusieurs à nous réfugier dans de la nourriture sucrée lorsque nos émotions prennent le dessus.
Nous pourrions aller observer une journée dans une école, pour nous rendre compte que le sucre est bel et bien présent dans les boîtes à tartine des enfants et ce, parfois en trop grand nombre.
Il serait donc intéressant d’être attentif à la quantité de sucre présent dans les aliments.
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Quelle collation donner aux enfants ?
Il est préférable de donner une collation comme complément aux repas et non uniquement comme « coupe-faim ». Ainsi que de donner des aliments les plus naturels possible tels que les fruits, les légumes, les arachides. Il faut donc éviter les aliments industriels qui ont été transformés car ils sont généralement riches en sucre ou d’autres composants.
En tant qu’institutrice, il serait intéressant de réaliser une activité autour de l’alimentation afin de connaitre ce que les enfants savent de l’alimentation. L’année passée, dans l’école où j’ai travaillé, une animatrice est venue donner un atelier autour de ce sujet. Je trouve qu’il est important et intéressant d’aborder ce sujet avec les élèves. Cela permet d’avoir leur vision des choses et de pouvoir mettre des activités en place, de les ouvrir à une alimentation saine et de les mettre en réflexion.
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10 points prioritaires identifiés pour l’alimentation de l’enfant[2]
1. Présenter des féculents à chaque repas ( pain, pâtes, riz, céréales, pommes de terre, semoule,…).
2. Consommer des fruits et/ou des légumes au moins 3 fois par jour.
3. Donner du lait adapté à l’âge de l’enfant ou un produit laitier deux fois par jour.
4. Préparer du poissondeux fois par semaine.
5. Varier les matières grasses.
6. Donner le goût de l’eau et l’accès à l’eau pendant et à la fin de chaque récréation.
7. Offrir, chaque jour, 4 repas (déjeuner – repas du midi – goûter – souper).
8. Faire du repas un moment de détente et de plaisir.
9. Respecter l’autonomie et l’appétit de l’enfant.
10. Éduquer le goût et faire apprécier une alimentation variée.
Afin d’apprendre et de donner envie aux enfants à bien manger, il serait intéressant de les faire participer à la préparation des repas, au choix de ceux-ci. Cela les incitera à être curieux, à goûter les aliments et peut être à susciter un certain intérêt pour les ingrédients et la cuisine saine et variée.
En tant qu’adulte, il est important de montrer le bon exemple et d’adopter une alimentation équilibrée afin de la transmettre à nos enfants.
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Que faire lorsqu’un enfant ne veut pas manger ?
Je pense qu’il est important de ne pas forcer un enfant. Lui proposer de choisir les aliments qu’il aime et l’accompagner à préparer le repas pourrait l’aider à manger.
Se réunir tous ensemble autour de la table, permettra également aux enfants de prendre du plaisir à manger.
1.2. Le sommeil.
De manière générale, le sommeil permet de récupérer physiquement et mentalement. Tout le monde devrait en prendre conscience.
Le sommeil doit être de bonne qualité et d’une durée suffisante. En effet des études mettent en avant l’impact de la qualité du sommeil sur la mémorisation, le développement cérébral et la régulation de l' appétit. Pour bien apprendre, il faut donc bien dormir.
Effectivement, lorsque nous dormons notre cerveau réalise une « réinitialisation du système » qui serait indispensable pour préserver la mémoire et ainsi permettre d’autres apprentissages. En effet, celui-ci traite les informations et les nouveaux apprentissages réalisés durant la journée. Une nuit sans sommeil ou avec un sommeil de moins bonne qualité empêchera cette réinitialisation et sera gênante pour les apprentissages (somnolence, baisse de concentration, difficulté de mémorisation, …).
Lors du sommeil, nous passons par différentes phases :
- Le sommeil lent profond : récupération physique, restauration de l’énergie, sécrétions hormonales. Ainsi que l’élimination des déchets et des toxines.
- Le sommeil lent léger : respiration calme et régulière. L’activité cérébrale ralentie.
- Le sommeil paradoxal : processus psychologiques et cognitifs. Permet de consolider notre mémoire et de favoriser les apprentissages ( tri, ordonne et supprime les informations accumulées dans la journée). Le relâchement musculaire est total.
Lorsque le sommeil n’est pas suffisant, celui-ci a également un impact sur la santé car cela favorise des risques de troubles de l’humeur (irritabilité, instabilité émotionnelle, dépression, …), de symptômes dépressifs, de prise de poids, d’hypertension ou d’infection (problème d’immunité).
Le sommeil est donc une routine à mettre en place dès le plus jeune âge afin d’avoir de bonnes habitudes.
Il faut être conscient que le sommeil va séparer l’enfant de ses parents, ce moment peut être angoissant, stressant. Il faut donc préparer les enfants au passage de l’éveil au sommeil. Cela se réalise généralement par des rituels tels que : lire une histoire, faire un câlin, mettre une chanson douce et utiliser des objets rassurant et calmant.
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Éléments à favoriser au quotidien pour faciliter l’endormissement :
- Réaliser une activité physique journalière.
- Instaurer un rituel de coucher dans une ambiance calme et détendue ainsi qu’une heure fixe. La régularité est importante.
- Environnement :
* Literie adaptée à la morphologie de l’enfant ( taille, poids).
* Endroit calme, aéré, ni trop chaud, ni trop froid ( entre 18° et 20°).
* Créer une ambiance agréable dans la pièce ( l’enfant doit s’y sentir bien, avoir choisi et placé la décoration).
- Éviter la consommation de sucre ou d’aliments excitant le soir ainsi que de manger trop tard.
- Ne pas réaliser d’activités sportives intensives qui génèrent de l’adrénaline avant d’aller dormir.
- Introduire un réveil dynamique :
* émerger en douceur grâce à une musique douce, des caresses, une voix douce.
* allumer ou ouvrir doucement les rideaux
* s’étirer
* se laver
* …
2. Lien avec des troubles d’apprentissage ou handicap.
Selon moi, chaque personne, que ce soit des enfants, des adolescents ou des adultes, devrait avoir une alimentation saine et un sommeil réparateur. Ce travail peut appuyer le fait que ces deux éléments sont importants pour notre bon fonctionnement et développement.
En tant que future orthopédagogue, je sais dorénavant que ces deux éléments influencent l’ apprentissage. Mon travail sera donc de sensibiliser l’entourage à ces deux besoins. Je pourrai les accompagner pour mettre en place des éléments qui ont été cités dans ce travail.
Concernant les personnes ayant des troubles d’apprentissage, il est d’autant plus important de s’intéresser à leurs heures de sommeil ainsi qu’à leur alimentation.
« Le professeur O.Coudron, défend l’intérêt d’une alimentation spécifique dans le traitement du TDA/H. Diverses études ont corroboré sa théorie. Selon lui, l’enfant doit principalement se nourrir avec des aliments riches en Oméga 3 (poisson gras), qui permettent un bon équilibre dans la production des neurotransmetteurs. Le cerveau a également besoin d’un important apport journalier en protéines (…) Par ailleurs, les vitamines restent essentielles ainsi que les minéraux tels que le fer, le magnésium et le zinc, qui interviennent également dans la fabrication des neurotransmetteurs et qui alimentent les neurones. Les antioxydants sont aussi un élément essentiel pour assurer la biosynthèse des neurotransmetteurs. En fait, une carence de tous ces éléments peut augmenter les troubles du système nerveux et cognitif, tels que le TDA/H »[3].
Les éléments cités ci-dessus par le professeur Olivier Coudron (professeur associé en pharmacologie clinique université de Bourgogne et responsable pédagogique des diplômes universitaires de Nutrition santé), montrent l’importance de fournir une alimentation saine aux enfants afin qu’ils aient tous les apports nécessaires à leur bon développement.
Concernant l’alimentation, je pourrai également agir sur certains troubles alimentaires en réalisant des fiches pour expliquer les bienfaits d’une alimentation saine à l’aide de la pyramide alimentaire.
À propos du sommeil, je pourrai intervenir lorsqu’une personne présente des difficultés à s’endormir. Je pourrai sensibiliser son entourage à la laisser se reposer lorsque des signes de fatigue sont présents, à aménager son environnement, …
Il est également important de favoriser une relation d’écoute et de confiance. Cela permettra de connaître ses besoins au niveau des rituels, de ce qui l’apaise,…
À l’école, il sera intéressant d’en parler avec l’équipe pluridisciplinaire et d’accorder des moments de pause lors des apprentissages, d’aménager un coin où les personnes peuvent se recentrer, s’apaiser, se calmer.
Enfin, je pourrai informer les personnes concernées quant aux bénéfices d’un sommeil de qualité ainsi que des facteurs à mettre en place pour le favoriser.
N’oublions pas que le sommeil est très important car ces enfants extraordinaires fatiguent plus rapidement. En effet, ils ont besoin de beaucoup d’énergie.
Si je travaille dans une école, je pourrai faire de ma mission que ces deux thématiques soient intégrées dans le projet de l’établissement et de réaliser des ateliers autour de ceux-ci afin de sensibiliser tous les intervenants. De plus, cela permettra à l’ensemble de l’établissement de découvrir des aliments, leurs origines et d’autres cultures.
3. Conclusion.
Lors de ce travail, je me suis rendu compte que j’ai choisi ce sujet car nous en parlons peu ou pas assez lors de nos formations pour devenir enseignants. Je trouve cela dommage.
En effet, celui-ci démontre l’importance d’une alimentation saine, équilibrée et variée ainsi qu’un sommeil réparateur sur le développement humain. Je pense qu’il faut sensibiliser toute personne en contact avec des enfants, des adolescents, des adultes afin de prouver les bénéfices de ceux-ci sur l’apprentissage.
Nous savons dorénavant que les mauvaises habitudes alimentaires conduisent vers des pathologies ( maladies cardiovasculaires, diabète, obésité, accidents vasculaires cérébraux,…) et que cela a des conséquences sur les apprentissages.
Selon moi, il est essentiel de sensibiliser, en tant que futur orthopédagogue, tous les intervenants auxquels je pourrai faire face.
En effet, cette sensibilisation pourra permettre aux personnes de comprendre qu’elles ont le contrôle sur leur alimentation et leur sommeil et qu’ils sont favorables à leur fonctionnement et à leurs apprentissages.
4. Sources dans le texte :
[1]Godard, S. ( 2017). La réussite scolaire.(p.59). Namur : Éditions Érasme.
[2]Mottard, P-E. ( s.d). Les aventuriers du bien-manger. Livret 1, le livret de l’enseignant. En ligne http://www.provincedeliege.be/sites/default/files/media/1129/livretEnseignant.pdf, consulté le 6 décembre 2019.
[3]Petiniot., M-J. (2016). Comprendre les DYSférences ou l’effet boule de neige des troubles spécifiques de l’apprentissage chez l’enfant. (pp. 130-131). Namur : Éditions Érasme.
5. Bibliographie.
-
Livres
- Bee, H., & Boyd, D. (2017). Les âges de la vie : Psychologie du développement humain. (5e éd.). Canada : Éditions du Renouveau pédagogique inc.
- De Coster, P. (2015). TDA/H – Mode d’emploi. Namur : Éditions Érasme.
- Delriew, J., Gardères, C., Nelson, C., Valet, C., (2017).Sos mon enfant est dys. (s.l) : Hachette Livre.
- Godard, S. ( 2017). La réussite scolaire. Namur : Éditions Érasme.
- Leurquin, P. & Vincelette, S. ( 2013). Gérer les comportements difficiles chez les enfants. Namur : Éditions Érasme.
- Petiniot, M-J. ( 2016). Comprendre les DYSférences ou l’effet boule de neige des troubles spécifiques de l’apprentissage chez l’enfant. Namur : Éditions Érasme.
-
Sites internet
- ASBL Question Santé. ( 2017). La philosophie de la pyramide 18 mois – 6 ans de L’ONE. En ligne http://mangerbouger.be/La-philosophie-de-la-pyramide-18-mois-6-ans-de-l-ONE?id_mot=13, consulté le 6 décembre 2019.
- ASBL Question Santé. (2018). Le sommeil chez les jeunes : facteurs d’influence et pistes de prévention. En ligne http://mangerbouger.be/Le-sommeil-chez-les-jeunes?id_mot=13
, consulté le 6 décembre 2019.
- ASBL Question Santé. (2019). Réussite scolaire : influence du sommeil et de l’alimentation. En ligne http://mangerbouger.be/Vers-une-annee-scolaire-heureuse, consulté le 6 décembre 2019.
- Cossette Civitella, A. ( 2 octobre 2017).Les collations à privilégier pour favoriser la concentration. En ligne https://www.alloprofparents.ca/articles/le-cheminement-scolaire/collations-privilegier-favoriser-concentration/, consulté le 6 décembre 2019.
- Coudron, O. (4 mars 2016). Nutrition et cerveau. En ligne https://www.tdah-france.fr/Nutrition-et-cerveau.html, consulté le 30 décembre 2019.
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- Inserm. ( s.d). Sommeil : Faire la lumière sur notre activité nocturne. En ligne https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/sommeil#, consulté le 6 décembre 2019.
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- Lefèvre-Balleydier, A. ( 18 août 2015). Que manger pour bien nourrir son cerveau ? En ligne http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/08/18/24023-que-manger-pour-bien-nourrir-son-cerveau, consulté le 6 décembre 2019.
- Lochouarn, M. ( 13 octobre 2011). L’importance du sommeil dans l’apprentissage et la mémoire. En ligne http://sante.lefigaro.fr/actualite/2010/02/22/10068-limportance-sommeil-dans-lapprentissage-memoire, consulté le 6 décembre 2019.
- Mottard, P-E. ( s.d). Les aventuriers du bien-manger. Livret 1, le livret de l’enseignant. En ligne http://www.provincedeliege.be/sites/default/files/media/1129/livretEnseignant.pdf, consulté le 6 décembre 2019.
- Réseau Morphée. (2018). A quoi sert le sommeil ? En lignehttps://reseau-morphee.fr/le-sommeil-et-ses-troubles-informations/sert-sommeil, consulté le 14 décembre 2019.
- Sellier, N. (s.d). L’alimentation. En ligne https://www.frcneurodon.org/comprendre-le-cerveau/a-la-decouverte-du-cerveau/lalimentation/, consulté le 6 décembre 2019.
Voici une vidéo intéressante concernant les troubles du sommeil et le handicap :
https://www.reseau-lucioles.org/philippe-croizon-parle-de-troubles-du-sommeil-et-handicap/
Pour télécharger ce travail, cliquez ici :
Professeurs : Madame El Kaddouri & Madame Jacquet.


